Oh goulot ma raison d'être
Mon corps torsadé te chérit
Grand, petit cru qu'importe
Quand je te vois je frémis
mon corps engouffre ton liège
Pour libérer ton doux esprit
De Bourgogne ou d 'Ariège
Point chauvin je ne suis
Pour découvrir ton bouquet
Et quand ton cri fait « gloup »
Libérant ton goulot coquet
Je tremble de mon tout
J'entends ton glouglou
Qui enivrera les palais
Tu seras toujours patron
Et moi …ton tire-bouchon !